Vivre au-delà du bruit
Article de A. Semmid
Deuil et aigreur chantent le chant de l’âme et cultivent le lyrisme et vivent le deuil
Et moi je chante ce dense bruitage d’applaudissement de crie d’une mélodie de bonheur
Des bruitages de crie en tous genres, crie de peur, de joie et crie d’un bouvreuil
Crie d’un homme qui chute par la fenêtre et accepte le temps du deuil
Je ris, je crie, j’éclate de rire et j’entends le bruit de l’encre. Quelle feuille !
L’air de rien entre et un bruit noir ne vous dit pas qu’il entend le bruit (Prétérition)
Rien du tout n’était si fort, si brusque et si vaillant qu’un écureuil (Ironie)
Tout en faisant le bruit. Quel bruit !
Je dors, je me réveille et je me dis : J’entends un bruit blanc pendant mon sommeil !
Quelle folle journée dans une nuit de regard d’un bruit de pas qui monte et l’autre qui descend
Et le jour s’enchaîne au jour et l’heure s’apprend de sa nièce la lecture de l’heure du réveil
L’heure d’un train qui allume son charbon noir le feu sur la glace et regarde le temps (Synecdoque)
J’assiste, je contemple, et je bois des verres et j’écris des vers pour la fête du bruit (métonymie)
Beaucoup de recherches de bruit pour rien que d’un calme attendu
Va, cherche mais écoute ne fait pas de bruit
Pour entendre le bruit de ce couloir absolu
Je vois, je sens un bruit qui court et court je l’attrape noir, obscur et sombre
Il chantait en fête, et mourait en décès
Tant peur du bruit de l’eau qui coule et tant effaré d’un bruit dénombre
Je chercherai pour la rose qui flétrit les plus beaux vins des roses tel un effet