Oses, aimes et vis.
Dis ! L'as tu retrouvée ta belle envie d'aimer
Qui te faisait vibrer et te faisait rêver,
Racontes-moi Ami quand ont cessé tes cris
De tristesse et d'envie à étouffer ta vie.
Existe-t'il dis-moi le moindre éclat de joie
Dans tes journées d'effroi où est l'amour en toi?
Crains-tu donc le bonheur pour avoir aussi peur
De déchirer ton cœur aux lames d'une âme soeur.
Essaieras-tu un jour de recréer l'amour
où fuiras-tu toujours gardant ton cœur trop sourd ,
Vois-tu mon tendre ami ce que sera ta vie
Si tu crois qu'il suffit de leur dire "non, merci"?
Sur ton coeur
La main là sur ton coeur quand elle se fait aveu
Est le sceau du bonheur qui vit entre nous deux
Je retiens tous tes rires de peur qu'ils ne s'enfuient
Et ce sont tes sourires qui éclairent mes nuits
Si j'ai parfois des poèmes d'amour qui te disent trop de moi
C'est que moi j'ai bien trop de sentiments pour toi
Et ma main posée là veut nouer à jamais
Ce doux lien dans tes bras que nos coeurs désiraient..
Entends cette musique
Ce chant lyrique,
Celle d'un coeur
Qui joue sous mes doigts
Une mélodie,
Qui m'en finit pas.
Je jouerai des chants de joie
Ceux, d'un nouveau retour
Auprès de toi.
Sans parole, ma musique
N'est qu'un cri
Que tu fuis,
Mais, je m'en finis pas d'écrire
Sur ta voix et ton sourire
Bien triste délire.
Bonne route !
L’amour pour toi sera facile
Mais il ne sera pas sincère.
Les apparences sont hostiles
Aux cœurs qui ne sont pas de pierre.
Je suis un être unique,
Toi la copie d’une copie d’une copie…
Avoue que c’est tragique,
Drôle de vie dans les envies de qui dévie.
Je comprends chaque jour de nouveaux phénomènes
Pas si loin de détours qui conduisent à la haine.
J’ai pris ceux de colère et m’arrêterai là,
Sur cette voie d’enfer je te traine et voilà,
Au prochain carrefour je prends chemin de paix
Te laissant arpenter sentiers de perdition.
Ces parcours inutiles je les ai trop faits,
Ils m’avaient trop laissé dans cet état second.
Chut !
Chut ! ne dis rien
Laisse mes mains
Déferler sur toi
Eveiller tes émois
Te dessiner
Te contourner
Te câliner
Te cajoler…..
Chut ! ne dis rien
Laisse aller tes mains
Là où elles le veulent bien
Pour les mener sur le chemin
De mes sens
En silence
En douceur
Vers le bonheur
Chut ! ne disons rien
Laissons nos mains
Se retrouver
Et s’aimer
Fermons les yeux
Partons vers les cieux
Vivons cet instant
Arrêtons le temps…..
Envolée du bocal
J’aime faire voyager mes poèmes d'amour
A défaut de voyager moi-même.
Ils vont se faire lire à l’autre bout du monde
Et peut-être séduire des âmes vagabondes.
Je défie tous mes codes et ceux de qui en a…
Branchez les électrodes, j’ai bien besoin de ça,
Ecrire à la va vite sur un coin de table
Que la vie va trop vite et c’est insupportable.
J’donne des ailes aux poèmes d'amour car mon cops dérive
Dans un bocal indemne qui de tout me prive.
Et si la vie est brève longue est notre histoire,
Si libre dans mes rêves, je m’envole ce soir.
Ce truc vous rend aveugle à vous crever les yeux,
Une dernière image et c’est le noir total.
Ce truc vous rend aveugle puis vous casse en deux,
A demander courage tell’ment ça fait mal.
Il y a des jours j’me laisse abattre
Par le poids de l’amour que je lui porte encore.
Et pas la peine de débattre,
Vraiment je fais tout pour m’la décoller du corps.
Drame ironique
De me voir devenir quelqu’un
Dans la panique
D’être pour elle un moins que rien.
Je t’enverrai tous mes putains d’poèmes d'amour
Te harcèlerai comme trop de dilemmes.
J’serai direct mais indirectement…
J’prendrai la tête et passera le temps.
J’ai pas toujours, il faut l’avouer,
Envie d’me battre contre moi.
J’suis pas non plus un demeuré,
Qui j’étais te plaisait je crois.
Non moi j’ai pas d’planche à roulettes,
Je suis déjà presque un vieux con…
Mais d’apparence en midinette
Elles s’en viennent puis s’en vont.
On va me dire cette histoire d'amour
Il est grand temps d’y mettre un terme.
Voyons, il n’y a plus d’histoire,
Courez toujours pour que j’la ferme !
J’écris c’qui faut, c’qui presse, et n’cherche pas la gloire.
Elle m’a mis en détresse, j’me suis pas mis à boire,
J’me suis mis à écrire un peu plus en colère.
Pourquoi vous le décrire ? ça me détend les nerfs.
Comme un papillon
Il a déposé sur sa nuque
Des caresses
A la douceur de soie
Comme un papillon
Délicat
Il a déposé sur sa peau
Des baisers légers
A la saveur de miel
Comme un papillon
Il a déposé sur son Coeur
Des poésie d'Amour
Inscrit à l'encre de Chine
Comme un papillon
Il a déposé sur son Âme
Des sentiments
Aussi profond que les bas fonds
De l'Ocean
Comme un papillon
Il est entré dans sa Vie
Un matin
Guidé par la lueur du jour
Pour vivre auprès d'Elle
Chaque instant de son Existence ...
Échine courbée
Elle espère sa tendresse
Dans un Silence assourdissant
Mais rempli de sourires
Elle écoute ses désirs
Soupirs
A la pensée de souvenirs partagés
Frissons
A l'idée de se rappeler les baisers échangés
Dos voûté
Envoûtant de sensualité
Elle écoute au loin
En Silence
Le souffle de son Aimé.
Courbes assassines
Dans la pénombre se dessinent
Toutes les Émotions
Toute la Grâce
Toute la Sensibilité
Qu'elle émane
Lorsque pour Lui
Son Coeur bat en Silence...
... Et si AIMER devenait simple ...
Dire je t'aime à quelqu'un
est peut-être la suprême prière humaine.
Aimer et se sentir aimé,
de la tendresse au baiser,
il n’y a que ça dans la vie... Car ..
Souvent l’amour meurt tout simplement
parce qu’on ne fait pas, pour le conserver,
tout ce qu’on avait fait pour l’inspirer.
Pensées de mes vacances.
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